Etude de cas
Le droit à l’autodétermination englobe également la possibilité de ne pas s’investir dans le processus décisionnel. Certaines personnes ne souhaitent pas se confronter à leur maladie, et ce choix doit être respecté. Le non-savoir permet d’entretenir une espérance réconfortante pour qui doit faire face à une situation difficile.
L’histoire du cas de madame M. met en lumière la problématique de l’annonce indirecte du diagnostic et du pronostic.
Passer de l'école à l'apprentissage professionnel pose de nombreux défis. L'équipe de recherche du centre Apprentissage et socialisation de la Haute école pédagogique du Nord-Ouest de la Suisse (Fachhochschule Nordwestschweiz) a élaboré des conseils pour l…
Nous connaissons tous la douleur, sous différentes formes : • en nous égratignant le genou, • en nous brûlant la main sur un feu ou • en éprouvant de la tristesse. Mais comment fonctionne-t-elle ? À quoi sert-elle ? Et quand parle-t-on de do…